Nacer Amamra

Le chiffre 5, explications ...

Ajouté le 27 septembre 2013 | Cinq

M. David Hallyday ne se doutait probablement pas qu’avec le clip qu’on lui faisait tourner dans le désert en 1999 pour illustrer la chanson "Tu ne m’as pas Laissé le temps" que M. Pascal Nègre PDG d’UNIVERSAL MUSIC me faisait passer un cruel message sans équivoque.

M. Nègre a poussé le cynisme à son paroxysme et s’est servi du chanteur en l’utilisant comme le porteur involontaire du symbole du chiffre 5.

Le 5 pour moi représente plus un symbole qu’un “chiffre fétiche“...

D’une manière intime c’est :

- Le jour de ma naissance,
- Le jour où mon père s’est fait opérer d’une tumeur,
- Le jour de son décès.

Mais c’est aussi et surtout, le nom de mon groupe "5 Days A Week".

Nom avec lequel mon CD "Le défi d’la vie" avait été envoyé à UNIVERSAL MUSIC en 1997.

Précisions :

Toutes ces informations très personnelles ont été transmises à M. Gilles Pellegrini (qui les a fournis à M. Nègre) par mon batteur M. Christian Camandone avec lequel j’ai passé beaucoup de temps (3 ans) en répétition mais aussi en dehors de notre travail musical.

Lorsque j’étais invité chez lui, nous parlions très souvent de nos vies privées respectives et il savait pertinemment que j’étais originaire du sud de l’Algérie.

Et que retrouve t-on dans cette région aride ?

Le désert...

Pascal Nègre voulait que je remarque ce chiffre 5 vers la fin du petit film musical en faisant tourner à David Hallyday des scènes avec un "5" de couleur bleue inscrit sur le dos de sa chemise.

Ce chiffre utilise la même typographie avec la même couleur, que celui utilisé sur le press-book de "5 Days A Week" envoyé avec le CD démarché en 1997...

Nacer Amamra

Description de la scène :

Le chanteur s’éloigne en courant. Qu’est-ce que cela signifie ?
"Au revoir 5 Days A Week" !
"Ciao Nacer Amamra"...

Ton rêve s’éloigne mon p’tit bonhomme (Ce fameux rêve que tout musicien a de signer dans une Majors, d’être reconnu etc).

Puis David tombe à la renverse sur le sable.

Vois, je te mets la tête dans le sable.
Et/ou, je vais d’ensabler, t’enterrer vivant.

Ensuite, au moment de toucher le sol, son corps s’immerge dans l’eau.

C’est la douche froide, Hein mon pote !
Je te mets la tête sous l’eau maintenant.
Je te noie, je t’asphyxie.
Tu ne t’en relèveras jamais.

Fin du scénario...

Une provocation révulsante, abjecte et gratuite, un défi stupide d’une cruauté sans nom qui voulait dire, signifier:

"Je t’emmerde, vas te faire foutre" !
Moi je suis le PDG de la plus puissante des Maisons de disques qui existent.
En France c’est moi le boss, le patron et tout le monde me mange dans la main.
Je prends ce que je veux, à qui je veux et comme je le veux…
"Vas t’en prendre maintenant aux Hallyday, à Warner et à Universal en même temps !"...

C’est hallucinant n’est-ce pas ? Trop gros pour être vrai ?
Il faut vraiment être malade pour aller jusqu’à ce niveau d’interprétation.
Vous pensez peut-être que j’ai une imagination débordante ?

Sachez alors que ce que je viens de vous raconter est la version pure et simple de quelqu’un qui est docteur en droit :

- Mon avocate ! (Docteur en Droit)

Je ne lui avais jamais parlé de cela avant qu’elle ne soulève ce problème.

Je ne voulais absolument pas que l’on évoque cet aspect là du dossier de plagiat contre M. Hallyday, de peur d’être traité comme certains journalistes le font en ce moment en me faisant passer pour un farfelu, un illuminé parano et mythomane.

Je vous laisse apprécier vous-même les éléments que vous avez aujourd’hui à votre disposition pour vous faire une opinion.

Une dernière question demeure encore néanmoins.

- Pourquoi M. Nègre s’est-il comporté comme cela avec moi ?

- Pourtant, je ne le connais pas et je ne l’ai jamais rencontré.

Dans toute cette affaire c’est le seul point qui reste en suspend pour moi...

Pourquoi ?...

J'ai peut-être un début de réponse.

J'ai peut-être dû, sans le savoir, marcher sur les plates-bandes de ce Monsieur Pascal Nègre.

En tant que PDG d’une Maison de disques, pour rester maître de son business, il doit éliminer toute concurrence qui pourrait faire de l’ombre à “ses artistes phares de son entreprise“, avant que cette “concurrence“ ne soit trop forte, il faut l’éradiquer à la base c'est-à-dire avant qu’elle ne soit signé (engagé par contrat officiel).

Pour cela tous les moyens sont bons tant qu’ils restent confidentiels et si au passage je peux flatter mon égo en humiliant celui ou celle qui a osé venir sur mon terrain, pourquoi pas ?

C’est si excitant, si gratifiant et amusant.

Et c’est aussi la loi du marché : Trop de choix, tue le choix...

Nacer Amamra

Nacer Amamra